1 – C’est gênant
Maux de tête, gêne respiratoire, sentiment d’oppression… nul doute que l’on respire mieux sans masque. Le masque réduit l’oxygénation des organes et des cellules. Il peut aussi être responsable de boutons et d’irritations selon LaDépêche.fr
2 – Un monde sans expression
Le masque gomme nos identités et cache nos sourires. Il pousse également au repli sur soi. Le masque est un obstacle à la communication, on se sent bâillonné. Le philosophe italien Giorgio Agamben parle de « pays sans visage », un monde où l’on renonce au regard, à l’échange, et à sa condition politique.
3 – La communication passe mal
Lors d’un dialogue masqué, il est plus difficile de comprendre son interlocuteur. Le masque est d’ailleurs néfaste pour le développement du langage chez les enfants. L’articulation est invisible.
4 – Développe la peur de l’autre
Le masque obligatoire, c’est se méfier de l’autre, ne voir autrui que comme un vecteur de contamination.
5 – Les risques d’autocontamination
Le masque peut avoir l’effet inverse recherché s’il est mal utilisé. Lorsque les chirurgiens et aides-soignants utilisent le masque à l’hôpital, ils se désinfectent les mains, enfilent le masque et ne le touchent plus jusqu’au moment où ils l’enlèvent. Ils ne sortent pas le masque de leurs poches, de leurs manteaux ou de leurs sacs…
6 – Revendiquer son libre arbitre
Ce n’est pas le rôle de l’Etat d’être aussi intrusif et d’obliger à porter le masque, chacun devrait pouvoir avoir le choix. Au début de la crise, le gouvernement exprimait que le port du masque était suffisant pour contrôler l’épidémie. In fine, nous l’avons supporté 2 ans et, en bonus, nous avons subi la fermeture des commerces jugés « non-essentiels », le distanciel, le couvre-feu à 18h, le vaccin et le pass vaccinal…
7 – Et l’environnement dans tout ça ?
Le port du masque obligatoire pour tous dès 6 ans, ça en fait du plastique ! En 2020, les masques jetables ont représenté 40 000 tonnes de déchets non recyclés. D’après une étude publiée dans le « Journal des matières dangereuses », un masque peut libérer jusqu’à 16 millions de particules de microplastique.