1. Il est inefficace sur les contaminations.
Le vaccin n’empêche pas la transmission du virus, comme l’a montré le nombre de cas record atteint au mois de janvier. C’est pourtant dans cet objectif que le Conseil d’État avait validé le pass sanitaire.
2. C’est une extorsion de consentement
Le 12 juillet, Emmanuel Macron annonçait l’extension du pass sanitaire aux lieux de loisir et établissements recevant du public. Cette annonce a dopé les prises de rendez-vous pour se faire injecter, en ignorant les AMM conditionnelles et le consentement libre et éclairé. Avant son discours, la vaccination stagnait autour de 36 millions de primo-injections.
3. C’est une décision purement politique
Le pass sanitaire n’a rien de sanitaire ni de scientifique. C’est un outil de contrôle qui donne à l’État le pouvoir de désactiver les gens de la vie sociale. Il ouvre également la porte à un système similaire à celui mis en place en Chine (crédit social).
4. C’est une mesure discriminatoire
On exclut de certains lieux et on attise la haine sur des citoyens qui n’ont rien fait d’illégal, sous prétexte qu’ils n’ont pas accepté de s’injecter un certain nombre de doses. Les non-vaccinés sont les boucs émissaires du gouvernement et de certains grands médias.
5. « Tout ça pour un rhume »
Les données de la Direction de recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) révèlent que chez les moins de 60 ans, il y avait 0% de risque de mourir du covid qu’importe son statut vaccinal.
